
jeudi 29 septembre 2011
Istanbul loukoum : Constantinople
Sainte-Sophie |
La rive européenne d’Istanbul (quartier de Fatih) nous fait nous plonger dans la vieille Constantinople, l’aïeule de la ville, voulue comme la nouvelle Rome vers 300. Un dédale de petites rues, qui montent ou descendent au gré des collines sur laquelle est construite la ville antique et dont des immeubles découvrent de temps à autre des minarets qu’on croirait vieux comme le monde (pour certains, c’est presque vrai !). La rumeur de la ville est comme une machine à remonter le temps, et on imagine aisément voir les sultans sortir de leur palais. Constantinople n’est pas si loin. Cette ville-royaume qui a éclairé de son aura des siècles, des ères, et des hommes, tant que son parfum traine encore dans les rues. A la traverser, on se croirait intemporel comme si l’on croisait l’Histoire en bas de la rue. Et ce n’est pas si fréquent, car dans les chemins de ce vieux quartier on se perd réellement dans les méandres du passé ; alors respirer un bon coup avant qu’on ne traverse la Corne d’Or la prochaine fois, on se dirige vers Ayasofia.
jeudi 22 septembre 2011
Des vies d’oiseaux, Véronique Ovaldé
Rentrée littéraire 1

dimanche 18 septembre 2011
Promenade forestière
mercredi 14 septembre 2011
Paris sur Seine
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Piscine Deligny sous influence |
Paris sur Seine
Hotêl de ville
Paris 4e
jusqu'au 17 septembre 2011
entrée libre
samedi 27 août 2011
Ligne rouge au pied
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Mado |
lundi 8 août 2011
Swing on the beach
Et si l'été ne venait que pour nous faire swinguer, se faire trémousser, se faire tourner la tête ? Évidement! Un peu de volume, un pas de côté, un air à siffler les pieds dans l'eau...
Cette année je n'ai pas de son à faire tourner en boucle dans mon ip#d.
Juste un truc qui sera à équidistance de ce tube des années 80's:
Cette année je n'ai pas de son à faire tourner en boucle dans mon ip#d.
Juste un truc qui sera à équidistance de ce tube des années 80's:
dimanche 31 juillet 2011
Ola Barcelona !
Un petit tour par Barcelone avant de descendre dans mon fief, mon bastion, mon antre de la côte espagnole. Si j'aime Barcelone ce n'est pas pour les boîtes de nuit du puerto olimpico ni pour les Ramblas si touristiques. Barcelone, c'est autre chose. Entre l'iode de la mer et les petits déjeuners aux ensemadas (ma viennoiserie préférée avec les roulés à la cannelle suédois) dans le nord de Barcelone, lire un magazine dans le parc de la Cuitadela, et finir dans un bar à tapas, au comptoir. Un bar au jeu de mot imparable, aux tapas un peu évoluées et délicieuses qui crient qu'il n'y une cuisine espagnole digne de ce nom entre Ferran y el Buli et les calamares à la romana à peine décongelés. (là je suis injuste pour le arroz négro mangé sur le vieux port!). Approveche !
Restaurant
Paco Meralgo
171 calle Muntaner
Barcelona
lundi 25 juillet 2011
Ticket d'entrée, Joseph Macé-Scaron

mercredi 20 juillet 2011
Toscana Trip, Lucca et Castiglioncello
Si je ne devais garder qu’une ville de cette luxuriante Toscane, je prendrais Lucca, les yeux fermés. J’y habiterai sans problème, prendrai mon café sur la place (chez Taddeuci pour un Buccellato), enchainerai les aperetivo dans les ruelles, lirait Erri di Luca à l’ombre d’un olivier sur une terrasse. Une fois passées les murailles, Lucca est simplement la ville où vous voulez rester. Je crois que c’est la plus jolie ville que j’ai vu en Toscane, celle où l’on se sent comme à la maison sans la connaître et puis les touristes s’y font plus rare, la vie plus vraie. J’aurai aimé y rester plus longtemps, parfois ça ne tient à rien. Un diner de plus, des courses et balades plus poussés, du vélo dans la vieille ville.
jeudi 14 juillet 2011
Chico et Rita
En quelques notes le film est soufflé, comme certains avec leur trompette. Et comme chacun sait, souffler n’est pas jouer et rien ne sera joué entre Chico, le pianiste, et Rita, la chanteuse envoutante. Cuba, années 1950. La musique et la fête font rage. Un soir de mojitos, le pianiste rencontre sa chanteuse et leur vie ne sera plus jamais comme avant, pleine de fuites, de départs, de retour en arrière, pleine d’amour. Entre La Havane et New-York, Chico et Rita vivent un amour inoubliable passionnel et déchirant avec toujours le jazz en partition. Ce film animé prend justement sa valeur dans les dessins, dans les notes jouées, dans les sentiments, dans Cuba. Tout le film est à l’image de l’île, déchirante, enivrante, grisante. Prenez donc le temps d’aller écouter Chico, Rita, leur musique, leur ile, leur amour.
Bande annonce :
samedi 9 juillet 2011
La maison mère
Des carreaux blancs, un grand bar, des miroirs, des tables simples et jolies, une carte identique, des luminaires en forme de chapeau melon, une ambiance décontractée chic, les serveuses identiques… You’re not in New York City Baby. Bienvenue à la Maison mère, Paris, 9e. Des assiettes inspirées de la Grosse pomme (mention spéciale pickles à l’Assiette Brooklyn) sans faire du copié/collé made in US, une carte suffisamment sympa pour laisser place à l’hésitation et une carte du jour pour faire attendre la serveuse encore un peu plus. Donc en entrée, pour ces Mlles : soupe de l’été Melon-basilic (bonne mais un peu huileuse) et Crab Cake (très bon, plein de saveurs, pas habituel, un vrai truc un peu nouveau et bon, good point.) En vin, un bourgogne aligoté bien frais qui faisait merveilleusement patienter entre les plats.
mardi 5 juillet 2011
Toscana trip ; Sienne et San Gimignano
Lorsqu’on voyage en Toscane, pas question de rester sur les bords de l’Arno. Il faut louer une voiture, une vieille Alfa Roméo rouge ou une Fiat 500 toit ouvert feront parfaitement l’affaire, histoire d’avoir les cheveux au vent. On prend la route, on sort la carte (ou le GPS) et direction la grande rivale de Florence, Siena. Beaucoup plus baroque que la première, elle n’en est pas moins très belle, d’une beauté plus brute. Ruelles, linges aux fenêtres, fontaines et glaciers à tous les coins de rues, on s’y croirait dans le film du cliché toscan mais sans exagération. Les Toscans sont calmes et Sienne leurs ressemble, ouverte, souriante, sûre de sa beauté et à la fois modeste. Le Duomo, à taille humaine, vaut largement le détour, quitte à mettre une fausse jupe en plastique si vos gambettes ne sont pas assez couvertes. Et si vous êtes là-bas en juillet (le 2) ou en août (le 16) ne manquez pas le Palio sur la place en demi cercle de la mairie, les différents quartiers de la vile s’y affrontent lors d’une course de chevaux magistrale.
mardi 28 juin 2011
Paris-Bombay-Delhi
L’art indien sans bouger de la rive droite, il n’y avait qu’au centre Pompidou que l’on pouvait voir ça. Quelques années après Africa Remix, le centre reprend le concept, avec cette fois-ci l’Inde en point de mir. Photographes, vidéastes, plasticiens, peintres, artistes en tout genre venus d’Inde présentent leur regard affuté sur leur pays en voie de développement à grande vitesse avec cette multi-exposition, Paris-Bombay-Delhi. Un pays qui ne laisse pas sa part de misère, d’illettrisme, de souffrance, de pauvreté. L’art est l’occasion d’éduquer, de rendre plus beau, d’immortaliser des situations en proie au drame. Dans cette exposition, il y a aussi le regard d’artistes Français, forcément différent, d’un pays si lointain, qu’il semble être d’un autre monde qui ne peut s’empêcher d’attirer le désir et l’aventure exotique.
mardi 21 juin 2011
Blue valentine

jeudi 16 juin 2011
Toscana Trip, Florence
A priori tout ce que vous avez entendu sur Florence est vrai. La ville prend toute sa beauté aux couleurs du soir ; vrai. L’architecture renaissance de la ville vous fait croire sans problème que Catherine de Médicis elle-même pourrait déboucher au coin d’une rue et vous filer de la sigue ; vrai. Florence, la belle, est aussi mystérieuse au premier abord que Rome est antique. Elle pourrait en être repoussante mais elle n’en est que plus attirante. A parcourir ses rues, à traverses ses ponts, à grimper au sommet de son clocher et à admirer ses bijoux signés Botticelli ou Vinci, Florence se dévoile petit à petit comme une vraie dame.
lundi 30 mai 2011
Un film, des livres, un voyage

mardi 24 mai 2011
Yoom

jeudi 19 mai 2011
samedi 14 mai 2011
Au revoir parapluie
C'est sans hesiter que je mets Au revoir parapluie en tete des spectacles les plus incroyables et bourres d'emotion qu'il m'ait ete donne de voir. James Thierree a ce don incroyable de faire de ses spectacles un melange presque inacheve de danses qui n en est pas, de tableaux d'acrobaties dansees, de clowneries gracieuses. Il est un magicien qui vous emmene dans un monde duquel vous ne reviendrez pas tout a fait et c'est une tres bonne nouvelle.
Au revoir parapluie
Theatre Marigny
jusau'au 4 juin
ps. Desole pour toutes ces "fautes" mais je n'ai un ordinateur qwerty ici en Italie et ce n est pas vraiment facile!
Et n'oubliez pas d'aller voter sur Madame Figaro, le concours n'est pas fini!
vendredi 6 mai 2011
Les Noirs d'Odilon Redon
Odilon Redon n’est pas l’impressionniste que nous connaissons le mieux pourtant chacun saurait reconnaitre un de ces tableaux. La rétrospective du Grand Palais a ça de bon qu’elle permet de se rendre compte de l’étendu de notre ignorance pour cette œuvre. La plus grande partie de l’exposition revient d’ailleurs sur un travail particulier du peintre, « les noirs ». Tout en noir, ombrés, ces lithographies montre un monde plein de rêves, de personnages enchantés, de monstres gentils ou d’anges à l’air maléfique. Elles constituent des séries qu’Odilon Redon mettaient en scène autour d’un thème, d’une œuvre ou d’un écrivain ou peintre. Ainsi, On peut contempler ses Noirs sur Goya, Egdar Allan Poe ou la tentation de Saint-Antoine. Très justes, les traits transpirent d’une modernité telle qu’on les croirait dessinés la veille. Des dessins venus d’un monde un peu fantastique, mêlé d’imagination littéraire, de rêve voire de cauchemars d’enfants.
mercredi 27 avril 2011
Sacré Festival
(Chronique pour le concours Madame Figaro, voir plus bas)
Il y a des jours pleins de soleil où Paris se transforme en fête improvisée. Il y est alors bon de s’y prélasser, s’y alanguir, s’y faire tourner la tête comme dans un manège. Le soleil possédant le don d’emmener tout le monde dans son cortège ; même les Parisiens les plus récalcitrants s’y laissent trainer. Je me suis donc levée de mon Fauteuil pour participer à ce festival pascal moi aussi. Montmartre un jour de Pâques me paraissait tout désigné pour une flânerie estival -mi-nid à touristes mi-village aux pavés déchaussés. Le Sacré-Cœur érigé en parrain silencieux de ce spectacle de rue, tout aussi digne d’une cour des Miracles pour Notre-Dame.
lundi 18 avril 2011
Homo erectus, Tonino Benacquista

FauteuilClubSandwich/ Les trois héros d’Homo erectus participent chaque semaine à une sorte de club privé et secret dont le sujet unique est les femmes. Une sorte de club des « déçus anonymes » où la drogue sera la femme ?
Tonino Benacquista/ "Déçus", je ne pense pas. Pour moi, il s'agit d'hommes qui livrent leur témoignage, qui racontent leur propre histoire, qu'elle soit banale ou hors du commun. Un fois racontée, leur histoire ne leur appartient plus. Elle restera dans la mémoire de ceux qui étaient présents ce soir-là, ou bien elle sera oubliée. Ce sont des histoires d'amour, de mœurs, de sexe. Tragiques, extravagantes, ou tout simplement quotidiennes.
mardi 12 avril 2011
John (my) Legend

Voici la dernière, Rollin in the deep
* Dites moi que le jeu de mot ne vous a pas échappé...
mercredi 30 mars 2011
La diplomatie

jeudi 17 mars 2011
vendredi 11 mars 2011
« TJ » South Africa
David Goldblatt a l’œil ; David Goldblatt est photographe. Un photographe fier de ce qu’est devenu son pays, après des décennies d’Apartheid, mais triste des années antérieures à 1994. Alors il a accumulé les prises de vues. Dans la rue, chez les habitants de Johannesburg, « TJ » pour Transvaal Johannesburg, du nom donné au district, à la ville, selon l’enregistrement des véhicules. Une façon d’appartenir à la ville et de reconnaitre les autres, ses semblables. Il a photographié ce qui n’existe plus comme les habitations et commerces qui ont été démolis lors du « Groupe areas act », une des lois les plus discriminante du régime sud-africain qui obligeait les différentes populations à résider dans des zones urbaines d'habitation prédéfinies. Les centres-villes, ainsi que les quartiers les plus développés et les mieux équipés, étaient généralement interdits aux populations de races non-Blanches (les Noirs, les Métis et les Asiatiques). Aujourd’hui, les photos restent et témoignent de ces années perdues.
vendredi 4 mars 2011
Fenêtre sur... FCS
Sur le site wordle.net vous pouvez créer vos propres nuages, à partir de mots-clés que vous entrez ou en mettant l'url d'un site, comme j'ai fait ici. vous pouvez vous amusez avec, faire des invitations, agrémenter votre cv, faire une dédicace sympa à un ami.
Les mots sont placés, grossis, presque malmanés; arrangés, mis sous cloches prêts à être observés. (cliquez sur l'image pour mieux voir.)
Alors a-mot-sez-vous !
PS: j'en profite pour vous donner l'adresse du site super nice par lequel je suis arrivée jusqu'à wordle: concept-store.fr
lundi 28 février 2011
La brève et merveilleuse vie d’Oscar Wao, Junot Diaz

samedi 19 février 2011
L imprimerie
En fin de semaine pour décompresser et passer réellement au week-end, parfois en semaine, quand celle-ci est déjà trop dure à encaisser un mardi ou un mercredi. Il y a des endroits, comme celui-ci, où vous en sortez toujours mieux qu'en y entrant. L’imprimerie est de ceux-là. Un vieux café-restaurant du 1er arrondissement, aux frontières de l’ancien Ventre de Paris, tant niveau géographique que ambiance de carreaux, de mosaïque et de moulures sur bois. Les Rougon-Macquart ne sont pas loin, même si le Pink mojito n’existait pas au temps de Gervaise et Lantier. Parlons-en de ce Pink mojito, classique jusqu’à la dernière touche : le Martini Rosso, même s’il est de plus en plus remplacé par du sirop. Un Pink dont la première gorgée aspirée remet les idées en place, l’éclat dans l’œil en même temps que le sucré sur la langue. Sucré, mentholé, force du rhum, tout y est ; jusqu’à la brochette de bonbon posée sur le verre en guise de tapas et la corbeille de chips maison pour laquelle on vendrait bien un bras (bon, ok, peut-être pas le droit).
lundi 14 février 2011
Manque de temps

vendredi 4 février 2011
Une "bomb"
Alors là aussi le titre est parfaitement choisi. Après « Au-delà » et passer à travers le film, aujourd’hui une « bomb » musicale dont le titre annonce le meilleur. On se secoue avec ce morceau, on commence le week-end en fanfare, on s’envole dans des sphères musicales et festives en quelques notes bien balancées. En fait, je vais juste vous laisser écouter, mouver et mettre « repeat ».
Alors qu-en pensez-vous ??? Bon week-end !
Pigeon John_ The Bomb
Pigeon John_ The Bomb
lundi 31 janvier 2011
Au-delà

vendredi 28 janvier 2011
Envie d'ailleurs ?
Souvenirs des beaux jours alors qu’il fait un froid de gueux par chez nous. Le pont du Gard sous le soleil donne à rêver à des instants plein de douceur. Voilà où j’aimerai poser mes fesses en ce moment, sur un rocher de ce coin de paradis, sous le cagnard, le pastis à portée de main, un bikini pour seul habit, un paréo en guise de serviette et faire trempette dès que la peau cuit trop.
lundi 24 janvier 2011
Mme Shawn

jeudi 20 janvier 2011
A Milano
vendredi 14 janvier 2011
Un smoking à la mer, Louis-Henri de La Rochefoucauld

dimanche 9 janvier 2011
Somewhere
Ça part d’un ennui. Certes au Château Marmont, mais d’un ennui quand même. Celui d’un acteur à succès dont les potes sont là pour la fête. Et puis rien, vitesse 0 ; même la Ferrari lancée en boucle tourne mortellement. Comme les deux pin-up qui ne font même pas vraiment du pole-dance. D’ailleurs mythiques en tenniswoman sexy. Puis vient Cléo. La fille. Blonde, visage d’ange, patineuse amatrice. Sa fille. Du coup l’ennui passe plus vite, Guitar Heroe, natation et hamburgers, petits dej à n’en plus finir. Même un petit tour en Italie finit de faire s’éclater le père et la fille. Le problème, c’est que l’ennui, envers tout, revient plus vite encore une fois distraction faite. Somewhere va plutôt nulle part que quelque part et c’est bien dommage car le film est joliment filmé par Sofia Coppola et emporté par deux très bons acteurs, tout en intériorité.
lundi 3 janvier 2011
Le Musique, lyrics Version Française


Je m'occupe du développement (communication globale, opérations spéciales, etc...) et de la logistique (mise a jour du site internet/expéditions). Joachim lui gère toute la direction artistique, des visuels sur les t-shirts à l'ensemble de l'esprit Le Musique.
L'idée vient d'une soirée plutôt arrosée de Joachim et quelques amis, où ils ont traduit les paroles de la chanson California Love, de Tupac & Dr.Dre. Il m'a ensuite fait confiance pour l'aider a développer la marque, en parallèle de nos activités respectives.
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