mercredi 29 février 2012

Kuki


Une adresse de quartier où la table est bonne et surtout gastronome, ça ne se trouve pas tous les jours alors je vous en parle. Et on parle de quoi, de qui ? Eh bah, de Kuki. Et ce resto fête son premier anniversaire cette semaine-même. Au menu : des plats d’ici et d’ailleurs, tout ça un peu mélangé. Un saumon fumé à l’aquavit, un boudin plein d’épices, un goulache de cerf et une soupe de pamplemousse… Des plats accompagnés de purée et de légumes de saison déglacés. Voilà ce qu’il y avait sur notre table. Tout était délicieux, plein de saveurs, de goûts différents et parfaitement assortis et réalisé. Le vin blanc allait très bien avec ce qui était dans les assiettes. Le service tout aussi exquis, précis et gentil. En prime l’addition est aussi élégante que le reste, point trop salé, une dernière preuve du bon goût de cette table du 9e

dimanche 19 février 2012

Remember Boule noire


Bon alors cette chronique musicale est partie d'un texto à 20h39 de mon frère qui disait : "Tu connais "Un visa pour aimer" de Plaisir ? " (oui les années 80's ont eu un groupe qui s'appelait "Plaisir" !!). Après un visionnage express pour comprendre qu'on veut "voyager dans mon cœur", j'ai tout de suite pensé à la chanson kitsh-lover-funk qu'on a un peu honte de dire qu'on aime bien mais qui n'est pas si mal... 
J'ai nommé, "Aimer d'amour" de Boule Noire

mercredi 8 février 2012

Freud, Corinne Maier et Anne Simon


Je ne vous parle jamais de bulles et pourtant j’aime assez ça. Assez pour courir et couvrir les magasins de la rue Keller (Paris 11e) à la recherche d’occas’ de Nicky Larson ou de Cat’s eyes. Mais là ce n’est pas de manga dont je vais vous parler mais de bulles plus classiques, celles de la bande-dessinée. Ce que j’aime dans celle dont je vais vous parler c’est sa simplicité sans être simpliste. Freud (la BD) parle de Freud (Sigmund), sans se prendre la tête. Et c’est tant mieux car sur le papier, Freud ça fait pas buller… Entre s’allonger sur un divan avec ses vêtements, et le complexe d’Œdipe qui nous fait croire qu’on veut coucher avec sa mère ou son père, c’est quand même pas la panacée. Mais c’est faux (ça c’est de l’argument de choc !). Freud la BD nous fait rencontrer Freud Sigmond et son monde, son métier, sa ville. Et on comprend tout.