Le dernier Clint Eastwood a ça de vrai dans son titre que l’on passe Au-delà du film lui-même. Je pourrai presque arrêter ma chronique du jour à cette phrase que s’en est malheureux. Et pourtant l’histoire était là ; le sujet aussi. Trois personnes faisant une expérience autour de la mort, qui en vie parallèle vont finir par se télescoper à Londres. Un jeune garçon perd son frère jumeau dans un accident, une femme fait l’expérience de la mort lors du tsunami en Thaïlande, et un médium se met en retraite anticipée, préférant dialoguer avec les vivants sans passer par leurs morts. Ce trio un peu bancal aurait nécessité un peu plus d’ardeur, tant dans l'histoire racontée, les dialogues que dans le jeu. Il y a un raté, c’est certain. Le film est bien trop lent, sans but précis, presque amorphe. On a été habitué à mieux Mr Eastwood, et c’est bien ça le plus dommage.
lundi 31 janvier 2011
Au-delà
Le dernier Clint Eastwood a ça de vrai dans son titre que l’on passe Au-delà du film lui-même. Je pourrai presque arrêter ma chronique du jour à cette phrase que s’en est malheureux. Et pourtant l’histoire était là ; le sujet aussi. Trois personnes faisant une expérience autour de la mort, qui en vie parallèle vont finir par se télescoper à Londres. Un jeune garçon perd son frère jumeau dans un accident, une femme fait l’expérience de la mort lors du tsunami en Thaïlande, et un médium se met en retraite anticipée, préférant dialoguer avec les vivants sans passer par leurs morts. Ce trio un peu bancal aurait nécessité un peu plus d’ardeur, tant dans l'histoire racontée, les dialogues que dans le jeu. Il y a un raté, c’est certain. Le film est bien trop lent, sans but précis, presque amorphe. On a été habitué à mieux Mr Eastwood, et c’est bien ça le plus dommage.
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