Caverne aux merveilles, grotte d’Alice et du lapin blanc, cabane aux mille plaisirs … Bird on the wire est tout ça à la fois… Et plus encore. Un vrai coup de coeur. Comme une rencontre. Dans une petite rue calme derrière Bastille, pas le côté agité rue de Lappe/rue de la Roquette, la devanture rose bonbon détonne et sent bon la découverte toute douce. Oui une boutique peut être toute douce. C’est le cas de celle-ci.
Grande comme deux fois un mouchoir de poche, remplie d’un joyeux et joli bordel organisé, Bird on the wire est un magasin pour faire plaisir et se faire plaisir. Mille objets originaux, un peu fous, divers et variés allant des boucles d’oreilles 45 tours (version mini rassurez-vous), du collier esquimau à la fraise, en passant par un petit livre noir pour Être rock (Philippe Manœuvre), des robes de petites filles pas si sages et un décor fait de vieilles machines à écrire, de cages à oiseaux, de chaises et tables de jardin… Et dans cette boutique enchantée, c’est Thomas qui vous accueille. Derrière son comptoir-caisse, il guide et propose les petites merveilles que Céline, discrète, derrière son rideau, fabrique. Ou qu’ils ont chiné.
90% des bijoux de Bird on the wire sortent des mains de Céline, avec des inspirations venues d’Alice au pays des merveilles, du rock, du rétro, des instants enchantés. De ceux qui vous font vous sentir bien, d’un coup, pour rien et simplement. Cette boutique c’est comme un baume au cœur, un pansement sur une mauvaise journée, un sourire inconnu. On y trouve des cadeaux à s’échanger avec sa meilleure amie, à donner sans occasions, à s’offrir un jour de pluie. Des petites poupées, des collants qui croquent les genoux, des mouchoirs M. Atchoum. Des colliers avec un vrai mini harmonica Horner ou l’horloge du lapin blanc. Tic tac.
Chez Céline et Thomas, on ne trouve que ce qu’ils aiment, comme ça c’est facile. Ou pas, si vous avez les mêmes goûts qu’eux. Ils importent aussi des objets d’ailleurs, comme les figures japonaises à messages ou les appareils photo lomographes à effets multiples comme les fisheye qui font des têtes comme dans une cuillère à soupe. Bird on the wire vient de souffler sa première bougie. Avant, tout passait par internet, sur leur site. Puis, le mal des autres les a pris, et l’envie de voir qui commandait leur babioles et bricoles à travers un écran d’ordinateur a pris le dessus. Bien leur a pris. Commander sur internet les mille merveilles de la boutique c’est toujours possible (ici) mais allez leur dire bonjour, ça leur fera plaisir.
Comme une très forte envie d'aller y faire un tour ...
RépondreSupprimerJe t'en dirai des nouvelles, comme toujours!
Mlle E