Une fois n’est pas coutume, c’est bien de foot dont je vais parler le long de ces quelques lignes.
Je ne ferai pas de chroniques footballistiques dans ces pages mais aujourd’hui n’est pas un jour ordinaire pour le foot européen. C’est LA finale. Manchester United VS Barcelona. Une affiche que tous les amateurs du ballon rond espère pleine de beaux jeux, de petits et grands ponts, de passements de jambes, de dribbles, de buts… mais aussi de tirages de maillots, de tacles par derrière très limite, de buts refusés, de fautes dans la surface de réparation. Un match comme celui-ci, c’est aussi et surtout un stade qui gronde, qui se soulève et qui piétine, qui s’impatiente, qui râle, qui hurle, qui pleure, qui s’embras(s)e.
Alors comme beaucoup, je ne pourrais être dans le stade romain (romain, comme « Rome », la ville italienne; c'est une ville neutre qui doit accueillir la finale) qui accueille cette 54e finale de la Ligue des champions, ni à ses abords, ni à Manchester et ni à Barcelone, je serai dans un bar. Ce genre de bar où la bière coule à flots, où les chips sont grasses et pas très bonnes. Où, malgré les multiples écrans accrochés aux quatre murs, on est obligés de demander au mec de devant de pousser sa grosse tête. Le genre de bar où on finit quoi qu’il arrive debout et surexcité au bout de 10 min de jeu. Le genre de match où l'on devient apatride le temps de 2x45min + prolongations ; mais prêt à tuer pour le club de son choix. Pour moi cela sera Bar-ce-lo-na !
Pour celles, et ceux, qui ne sont pas très portés sur le foot, même le temps d’une soirée bières-potes-finale de la coupe des champions, vous pouvez toujours être dans les couleurs RED du jour et suivre l’effervescence du moment avec le dernier film de Ken Loach, Looking for Eric.
Sélectionné lors du dernier Festival de Cannes, qui vient de s’achever, ce film raconte l’histoire d’Eric Bishop, postier à Manchester. Dans une mauvaise passe, ce dernier ne se raccroche à rien pour remonter la pente, pas même les soirées foot avec ses potes pour soutenir leur équipe : Manchester United.
Un soir, un peu plus éméché que les autres, il s’adresse à un poster à de son joueur favori, Eric Cantona (rien de moins), qui a la bonne idée d’apparaître juste derrière ! L’ancien capitaine aidera alors le postier anglais à reprendre sa vie en main, séance de jogging à l'aube compris !
Aujourd’hui sera donc rouge (couleurs de Manchester) ou ne sera pas ! De mon côté, je repousse la séance ciné à ce week-end mais je ne manquerai pas de vous en faire part ! Les bruits de couloirs au goût de pop corn, sont déjà très élogieux envers le film.
Ps : Pour la petite histoire, Steve Evets (Eric Bishop dans le film) ne savait pas avant le tournage de la première scène qu’Eric Cantona jouait son propre rôle… A l’écran, sa surprise, lorsqu'il voit apparaître le King, est bien réelle !
Je ne ferai pas de chroniques footballistiques dans ces pages mais aujourd’hui n’est pas un jour ordinaire pour le foot européen. C’est LA finale. Manchester United VS Barcelona. Une affiche que tous les amateurs du ballon rond espère pleine de beaux jeux, de petits et grands ponts, de passements de jambes, de dribbles, de buts… mais aussi de tirages de maillots, de tacles par derrière très limite, de buts refusés, de fautes dans la surface de réparation. Un match comme celui-ci, c’est aussi et surtout un stade qui gronde, qui se soulève et qui piétine, qui s’impatiente, qui râle, qui hurle, qui pleure, qui s’embras(s)e.
Alors comme beaucoup, je ne pourrais être dans le stade romain (romain, comme « Rome », la ville italienne; c'est une ville neutre qui doit accueillir la finale) qui accueille cette 54e finale de la Ligue des champions, ni à ses abords, ni à Manchester et ni à Barcelone, je serai dans un bar. Ce genre de bar où la bière coule à flots, où les chips sont grasses et pas très bonnes. Où, malgré les multiples écrans accrochés aux quatre murs, on est obligés de demander au mec de devant de pousser sa grosse tête. Le genre de bar où on finit quoi qu’il arrive debout et surexcité au bout de 10 min de jeu. Le genre de match où l'on devient apatride le temps de 2x45min + prolongations ; mais prêt à tuer pour le club de son choix. Pour moi cela sera Bar-ce-lo-na !
Pour celles, et ceux, qui ne sont pas très portés sur le foot, même le temps d’une soirée bières-potes-finale de la coupe des champions, vous pouvez toujours être dans les couleurs RED du jour et suivre l’effervescence du moment avec le dernier film de Ken Loach, Looking for Eric.
Sélectionné lors du dernier Festival de Cannes, qui vient de s’achever, ce film raconte l’histoire d’Eric Bishop, postier à Manchester. Dans une mauvaise passe, ce dernier ne se raccroche à rien pour remonter la pente, pas même les soirées foot avec ses potes pour soutenir leur équipe : Manchester United.
Un soir, un peu plus éméché que les autres, il s’adresse à un poster à de son joueur favori, Eric Cantona (rien de moins), qui a la bonne idée d’apparaître juste derrière ! L’ancien capitaine aidera alors le postier anglais à reprendre sa vie en main, séance de jogging à l'aube compris !
Aujourd’hui sera donc rouge (couleurs de Manchester) ou ne sera pas ! De mon côté, je repousse la séance ciné à ce week-end mais je ne manquerai pas de vous en faire part ! Les bruits de couloirs au goût de pop corn, sont déjà très élogieux envers le film.
Ps : Pour la petite histoire, Steve Evets (Eric Bishop dans le film) ne savait pas avant le tournage de la première scène qu’Eric Cantona jouait son propre rôle… A l’écran, sa surprise, lorsqu'il voit apparaître le King, est bien réelle !
Wow ! Du foot et de la bière au milieu des presque traditionnels livres et film de FCS. Je vais l'aimer ce fauteuil..
RépondreSupprimerSniif les rouges ont perdu.. Mais je reconnais que le Barça a mérité, superbe but de la tête du génial lutin, qui l'eut cru ? Pas moi en tout cas, moi qui disait que Ronaldo était meilleur car plus complet...
J'attends ton avis sur le film j'ai vraiment envie d'y aller.