En fin de semaine pour décompresser et passer réellement au week-end, parfois en semaine, quand celle-ci est déjà trop dure à encaisser un mardi ou un mercredi. Il y a des endroits, comme celui-ci, où vous en sortez toujours mieux qu'en y entrant. L’imprimerie est de ceux-là. Un vieux café-restaurant du 1er arrondissement, aux frontières de l’ancien Ventre de Paris, tant niveau géographique que ambiance de carreaux, de mosaïque et de moulures sur bois. Les Rougon-Macquart ne sont pas loin, même si le Pink mojito n’existait pas au temps de Gervaise et Lantier. Parlons-en de ce Pink mojito, classique jusqu’à la dernière touche : le Martini Rosso, même s’il est de plus en plus remplacé par du sirop. Un Pink dont la première gorgée aspirée remet les idées en place, l’éclat dans l’œil en même temps que le sucré sur la langue. Sucré, mentholé, force du rhum, tout y est ; jusqu’à la brochette de bonbon posée sur le verre en guise de tapas et la corbeille de chips maison pour laquelle on vendrait bien un bras (bon, ok, peut-être pas le droit).

26 rue de la coquillière
Paris 1er
tu y vas toute seule maintenant ? tu veux qu'on en parle ?
RépondreSupprimernico
T'inquiète, elle était très bien accompagnée !
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