Dans les couloirs du métro, il y a parfois des surprises.
Ici c'était à Châtelet.
Je ne peux pas vous faire écouter la musique mais cela faisait une jolie parenthèse musicale et la preuve qu'il faut parfois ralentir le pas et faire attention aux choses diverses qui nous entoure, même dans le métro; ...surtout dans le métro. Alors à l'occasion, suivez les notes et écoutez ce joli orchestre.
A vous de jouer:
Quels sont vos découvertes ou petits plaisirs métropolitains ?
Rendez-vous dans les commentaires.
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vendredi 27 novembre 2009
mardi 24 novembre 2009
Les autres


Ps : Si vous avez raté ce très bon article du Monde… "Moi, Mustapha Kessous, journaliste au "Monde" et victime du racisme". Edifiant. Ici.
Les autres
de Jean-Claude Grumberg, avec Daniel Russo, Evelyne Buyle...
jusqu'au 31 janvier 2010
Théâtre des Mathurins
36 rue des Mathurins
Paris 8e
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Fauteuils rouges
lundi 16 novembre 2009
Sur un petit vélo...
Bon j’avoue j’avais réservé le resto pour nous deux, comme sur un tandem mais Sur un petit vélo ; histoire d’être tranquille à parler de bonbons, de boxe, de Cuba ou pour rire aux éclats sans se retenir à mes blagues très noires et souvent pas très drôles. Eh puis faut croire que le 11 novembre c’est plus un jour où va fleurir la tombe du soldat inconnu qu’au resto avenue Parmentier (je vous avais prévenu…). Donc ce petit resto était à nous et on en a bien profité ; la déco douillette nous y a aidé : coussins rouges et lampes en cages dorées, chaises dépareillées et vélo au mur (un vrai vélo).
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A table
mercredi 11 novembre 2009
Le concert

Oui bien sur, il y a les livres (et je le prouve assez ici), mais parfois il est bon de changer de fauteuil. Et en ces temps gris, pluvieux, froids, ventés et humides (non je n’exagère pas du tout), on a bien besoin d’un peu de réconfort, de douceur, de mélodie, de rire et de cocasserie. Et là mieux que de l’Humex et une bonne couette, je vous conseille très fortement d’aller voir Le concert, le dernier film de Ranu Mihaileanu (déjà réalisateur et scénariste des très bons Train de vie et Va, vis, deviens). Alors même si ce film entraine bien moins de débat que Le ruban blanc de Haneke (sur tt&b), il faut y aller au moins pour une chose : entendre les acteurs russes parler en français, désopilant et attendrissant à la fois. En fait pour une deuxième chose aussi, la musique, Tchaïkovski. Sublime.

Franchement je ne sais pas quoi vous dire d'autres sauf que c'est un très bon divertissement, que le film remplit parfaitement son rôle, nous faire sourire un jour de pluie. Mais attention, Le concert n'est pas une simple comédie. C'est aussi sur la différence et l'acceptation de celle-ci ou justement son refus et ses conséquences, des années et années après. Un film qui tombe parfaitement dans son actualité, les 20 ans de la chute du mur de Berlin. Il est possible que vous écoutiez davantage de musique classique en sortant du film. Un bon risque à prendre.
En photo: Le violoncelliste et chef d'orchestre russe Mstislav Rostropovitch, le 11 novembre 1989. Il jouait Les suites de Bach. Sublime encore. (Plus de cette histoire sur ElectorAllemand)
LE CONCERT - BANDE-ANNONCE HD
envoyé par baryla. - Les dernières bandes annonces en ligne.
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salle obscure
Walk in the wintry boulevards
Lumière ; la ville file. Pas n’importe quelle ville, mais Paris. Puis je m’endors, des lucioles, souvenirs de réverbères, pleins les yeux. Le froid et les rires des passants font frissonner ma peau. Quelques souvenirs comme une berceuse pour me rappeler que je n’ai pas rêvé. Souvenirs d’un sourire. Images subliminales sans avoir rêvé, sans avoir oublié, sans avoir fermé les yeux. Un air mélancolique, accords de Keziah Jones, et puis d’un coup pfff (soupir) quoi d’autre ? Que reste-il des étoiles du Rex ? Quelques flashs rythmés par les sons d’une batterie perdue.
Caves Saint-Germain des Près. Tout près des banquettes en skaï, des vins renversés, des mots maladroits. Et puis Paris, un baiser soufflé sur un pont ; la Seine en filet de rattrapage. Chaque ampoule soupire de ne plus voir valsés les cœurs légers des matins printaniers. Pourtant j’aime les baisers emmitouflés ; moufles écharpe bonnet. Fils de laine qui trainent. Et enfin un rayon de soleil hivernal, une terrasse chauffée et l’attente de la prochaine ondée, Paris nous y voilà.
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Vues parisiennes
samedi 7 novembre 2009
And the winners are... (itv David Foenkinos)
Alors voilà, nous sommes samedi et il est midi. Je vous donne les résultats du FCS'Prize et du Concours littéraire FCS; non pas de Drouant mais de mon fauteuil, confortablement installée, les jambes sur les bras (... du fauteuil!).
(Roulements de tambours...) Et le FCS'Prize est attribué à...

... David Foenkinos, pour La Délicatesse !
Et même si on dirait pas comme ça, mais il est très heureux. Si si, je vous assure, il me l’a dit. D'ailleurs Vous trouverez son interview, juste pour vous, pour FCS, juste après les résultats du concours.
Le Concours littéraire FCS...
Tada! Selon le règlement, le premier à avoir pronostiqué La délicatesse de David Foenkinos comme lauréat du FCS’Prize, le 2 novembre à 20h13, est… Flo!
Jeune homme, je te dois donc un livre et pas le moindre. Et comme le suggérait Greg, j'offre aussi le café qui va avec, dis moi donc quand tu es libre.
Je vous remercie tous pour votre participation, vos commentaires, vos presque dialogues, vos bons mots et votre envie de partager (et surtout de gagner!) que j’ai pris pour des encouragements à vous faire encore connaître mes coups de cœur, mes petits endroits, mes jolies choses parisiennes... et bien d'autres jolies folies.
Et un grand merci à David Foenkinos .
Interview de David Foenkinos

David Foenkinos/ Si je choisis l’un, je vais me mettre l’autre à dos. C’est malin ça !... Mais je crois que je vais dire les lecteurs. C’est ce qui compte, non ? J’ai participé au Goncourt des Lycéens, et c’était vraiment agréable d’avoir le retour, très frais !, des jeunes.
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Dans le Club
dimanche 1 novembre 2009
Le FCS’Prize et le Concours littéraire FCS
EXCLUSIVITE
Cette semaine les prix littéraires vont pleuvoir. A vrai, dire c’est de saison ! Renaudot, Interallié, Prix de Flore, Femina, et autres Goncourt vont être distribué par des jurys normalement très qualifiés pour. Tractations, influences, copinages, prédominance du fameux trio « Galligraseuil »… Qui sont ceux qui verront leur livre réédité et envoyé en librairie orné des bandeaux rouges « Prix Goncourt 2009 » « Prix Renaudot 2009 »… La voilà la question du moment, qui aura le Graal littéraire. Les bookmakers font des prévisions, les côtes d’un auteur montent au détriment d’un autre.
Et si pour une fois un prix littéraire marchait au coup de cœur, à la subjectivité totale, emmené par un seul et unique goût personnel, sans concession, sans réflexion, sans élection. Juste un émerveillement à la fermeture du livre, un souvenir littéraire tenace, une impression d’être dans le livre et d’être abandonné quand il finit. Pas l’idée qu’un livre serait meilleur qu’un autre, mais celle de monter sans tremblements sur une table, ledit livre à la main pour dire à l’auteur « merci » pour ce bon et magnifique moment de littérature ; sans rien à gagner à la clef.

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