Tuer un ami (ici), c’est bien connu ça ouvre l’appétit… Et je pense à vos panses déjà repues en cette période de fêtes et de ripaille. Je vais donc vous parler de nourriture spirituelle. Rien de trop chiant, promis ! Je vous propose entre Noël et Jour de l’an d’aller vous réchauffer au théâtre Marigny, vous délecter des cocasseries de restauration loufoque à la sauce Edouard Baer. Le fringuant trublion revient sur scène avec un délicieux spectacle-cabaret savoureusement appelé « Miam Miam ».
jeudi 24 décembre 2009
Miam Miam
Tuer un ami (ici), c’est bien connu ça ouvre l’appétit… Et je pense à vos panses déjà repues en cette période de fêtes et de ripaille. Je vais donc vous parler de nourriture spirituelle. Rien de trop chiant, promis ! Je vous propose entre Noël et Jour de l’an d’aller vous réchauffer au théâtre Marigny, vous délecter des cocasseries de restauration loufoque à la sauce Edouard Baer. Le fringuant trublion revient sur scène avec un délicieux spectacle-cabaret savoureusement appelé « Miam Miam ».
samedi 19 décembre 2009
Vos amis ne vous veulent pas que du bien...
Le meurtre d'Aurélie, c'est par ici!
Ajout: Dans le même genre mais en plus sexy... Bravo au Ostéo-dales!!!!
Pleins d'autres idées sur le site Jib-jab pour mettre en scène vos collègues de travail, votre patron, vos cousins ou vos amies!!!
lundi 14 décembre 2009
Swingin' London, baby
Hey, dear Fauteuil Club Sandwich's readers! I come back from London, loaded with presents and delighted by this city. Vous l'aurez compris je reviens de quelques jours de Londres, juste le temps de grignoter un fish and chips bien gras, de boire quelques bières, de croiser les petites Anglaises aux jambes nues par 2 degrès, d'aller faire le marché à Notting Hill et de me faire tatouer "I love London" et un Teddy bear sur la cheville gauche à Camden street, le tout en grignotant des chips au vinaigre.
mardi 8 décembre 2009
Le café livre
dimanche 6 décembre 2009
Quelques toiles
Il y a des personnes qui ne sont pas de votre famille mais c’est tout comme. Vous les connaissez depuis toujours, et vous avez parfois plus de plaisir à les rencontrer. Cette famille c’est un peu ma famille bis, avec mlle MB en point de départ, de chute, de mire ; malgré les points de suspensions ou les mises au point. Puis ce que vous saviez d’une passion, d’un talent vus dans les différentes pièces et maisons lors de déjeuners et diners tout au long des années passées dans cette seconde famille, devient réalité et une exposition nait. Des tableaux aux sujets diverses, aux paysages parisiens flous comme sous la pluie, des chevaux souvent, des maisons de campagnes ou d’Italie. J’ai eu un vrai coup de cœur pour le tableau Place de l'ancienne comédie (n°69), brasserie parisienne comme il en existe tant et à la fois plus tant que ça (dernier tableau en bas de page).
mardi 1 décembre 2009
La route, Cormac McCarthy
La route de Cormac McCarthy est « le » livre qu’il fallait avoir lu au début de l’année 2009 ; je ne l’avais donc pas fait. A vrai dire, je n’ai jamais aimé les livres ou les auteurs qu’il faut lire parce qu’un certain nombre de personne, plus ou moins influentes, ont décidé que c’était la meilleure chose à faire à ce moment-là. Ça a un côté lecture imposée très scolaire et fiche du lundi matin 9h (que je ne faisais pas) qui m’a très souvent dérangée et que donc je ne suis pas.
vendredi 27 novembre 2009
Musique, métro !
Ici c'était à Châtelet.
Je ne peux pas vous faire écouter la musique mais cela faisait une jolie parenthèse musicale et la preuve qu'il faut parfois ralentir le pas et faire attention aux choses diverses qui nous entoure, même dans le métro; ...surtout dans le métro. Alors à l'occasion, suivez les notes et écoutez ce joli orchestre.
A vous de jouer:
Quels sont vos découvertes ou petits plaisirs métropolitains ?
Rendez-vous dans les commentaires.
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mardi 24 novembre 2009
Les autres
L’histoire de Les autres c’est celle d’un homme, tout ce qui a de plus normal en apparence. Il s’avérera être raciste. Un vrai un pur un dur, d’autant plus qu’il ne pense pas l’être. L’histoire d’un Français moyen en 1967, qui se retrouve dans le premier tableau victime de préjugés de la part de son patron et dont la propre femme finira par se méfier. Dans le deuxième, en vacances en famille, il se croit victime d’escroquerie, finira par insulter son hôte, et de se retrouver lui-même être pris pour l’imbécile. Et enfin le troisième tableau, un texte très violent. Un texte qui va loin, trop loin, à la limite de l’acceptable comme le geste qui l’accompagne. Un texte parfaitement joué par Daniel Russo, avec la conviction et le courage qu’il faut pour le faire. Rendre le texte convaincant sans être convaincu mais pointer du doigt ceux qui se reconnaîtront, même un tout petit peu, ou par accident, voilà toute la difficulté de ce texte.
Les autres
de Jean-Claude Grumberg, avec Daniel Russo, Evelyne Buyle...
jusqu'au 31 janvier 2010
Théâtre des Mathurins
36 rue des Mathurins
Paris 8e
lundi 16 novembre 2009
Sur un petit vélo...
mercredi 11 novembre 2009
Le concert
Franchement je ne sais pas quoi vous dire d'autres sauf que c'est un très bon divertissement, que le film remplit parfaitement son rôle, nous faire sourire un jour de pluie. Mais attention, Le concert n'est pas une simple comédie. C'est aussi sur la différence et l'acceptation de celle-ci ou justement son refus et ses conséquences, des années et années après. Un film qui tombe parfaitement dans son actualité, les 20 ans de la chute du mur de Berlin. Il est possible que vous écoutiez davantage de musique classique en sortant du film. Un bon risque à prendre.
En photo: Le violoncelliste et chef d'orchestre russe Mstislav Rostropovitch, le 11 novembre 1989. Il jouait Les suites de Bach. Sublime encore. (Plus de cette histoire sur ElectorAllemand)
LE CONCERT - BANDE-ANNONCE HD
envoyé par baryla. - Les dernières bandes annonces en ligne.
Walk in the wintry boulevards
Caves Saint-Germain des Près. Tout près des banquettes en skaï, des vins renversés, des mots maladroits. Et puis Paris, un baiser soufflé sur un pont ; la Seine en filet de rattrapage. Chaque ampoule soupire de ne plus voir valsés les cœurs légers des matins printaniers. Pourtant j’aime les baisers emmitouflés ; moufles écharpe bonnet. Fils de laine qui trainent. Et enfin un rayon de soleil hivernal, une terrasse chauffée et l’attente de la prochaine ondée, Paris nous y voilà.
Quelques goutes de vodka, puis de parfum derrière l’oreille, le sommeil n’est pas loin ; Paris en trombinoscope. Rifs de guitare, « leave in the cafés and the bars », trainer sur les trottoirs, sourire endommagé et flottant, comme un souvenir inexistant. Paris la nuit. Serrer les bras contre son corps et avancer encore et encore, Paris en toile de fond, toujours et toujours. Puis comme d’autres je rentre. Traversant un dernier pont. Le quel ? A vous de trouver.
samedi 7 novembre 2009
And the winners are... (itv David Foenkinos)
(Roulements de tambours...) Et le FCS'Prize est attribué à...
Et même si on dirait pas comme ça, mais il est très heureux. Si si, je vous assure, il me l’a dit. D'ailleurs Vous trouverez son interview, juste pour vous, pour FCS, juste après les résultats du concours.
Le Concours littéraire FCS...
Tada! Selon le règlement, le premier à avoir pronostiqué La délicatesse de David Foenkinos comme lauréat du FCS’Prize, le 2 novembre à 20h13, est… Flo!
Jeune homme, je te dois donc un livre et pas le moindre. Et comme le suggérait Greg, j'offre aussi le café qui va avec, dis moi donc quand tu es libre.
Je vous remercie tous pour votre participation, vos commentaires, vos presque dialogues, vos bons mots et votre envie de partager (et surtout de gagner!) que j’ai pris pour des encouragements à vous faire encore connaître mes coups de cœur, mes petits endroits, mes jolies choses parisiennes... et bien d'autres jolies folies.
Et un grand merci à David Foenkinos .
Interview de David Foenkinos
Fauteuil Club Sandwich/ Bonjour David Foenkinos, et bienvenue sur le Fauteuil. Tout d'abord bravo pour le prix, que vous avez reçu à l'unanimité. Vous venez donc de recevoir le FCS’Prize et êtes encore en lice pour l’Interallié (décerné le 17 novembre) pour La délicatesse, deux prix différents puisque l’un de lecteur et l’autre de la « profession ». Quelle reconnaissance préférez-vous, celle du public ou celle de la critique et des prix littéraires ?
David Foenkinos/ Si je choisis l’un, je vais me mettre l’autre à dos. C’est malin ça !... Mais je crois que je vais dire les lecteurs. C’est ce qui compte, non ? J’ai participé au Goncourt des Lycéens, et c’était vraiment agréable d’avoir le retour, très frais !, des jeunes.
dimanche 1 novembre 2009
Le FCS’Prize et le Concours littéraire FCS
Et si pour une fois un prix littéraire marchait au coup de cœur, à la subjectivité totale, emmené par un seul et unique goût personnel, sans concession, sans réflexion, sans élection. Juste un émerveillement à la fermeture du livre, un souvenir littéraire tenace, une impression d’être dans le livre et d’être abandonné quand il finit. Pas l’idée qu’un livre serait meilleur qu’un autre, mais celle de monter sans tremblements sur une table, ledit livre à la main pour dire à l’auteur « merci » pour ce bon et magnifique moment de littérature ; sans rien à gagner à la clef.
mercredi 28 octobre 2009
Netherland, Joseph O'Neill
Donc Barack Obama, 44e président des Etats-Unis d’Amérique, et moi nous avons en commun Joseph O’Neill et son livre Netherland ! Oui, tout ça pour ça. Car, SuperObama a déclaré lors d’une interview à la BBC (juin 2009), alors qu’on lui demandait la nature de ces lectures présidentielles, qu’il était entrain de lire Netherland et qu’il le trouvait « excellent » ! L’intrigue de cet « excellent » livre se déroule à New York, après le 11-septembre et son ambiance un peu flottante, où un trader Hollandais habite avec sa femme anglaise et leur très jeune fils. Hans et Rachel se séparent rapidement après les attentats et elle rentre à Londres, le petit Jake sous le bras. Il restera seul dans cette qui n’est pas la sienne mais où chacun retrouve un peu de chez soi et il y rencontrera un personnage haut en couleur, le charismatique Chuck Ramkissoon.
Fans de cricket tous les deux, et peut-être leur seul point commun à eux aussi, ils se retrouvent à se mouvoir dans un New York parfois bien sombre, loin des lumières de Times Square. Chuck Ramkissoon l’exubérant entraîne avec lui le discret Hans Van de Broek dans une aventure pas toujours très claire et pas évidente : implanter réellement le cricket à New York city. Sport pratiqué quasi exclusivement par les déracinés de New York venus d’Inde, du Pakistan, du Bangladesh ou du Sri Lanka et qui ressemble au base-ball. Cette amitié, pas forcément évidente entre ces deux personnes dont les mondes sont opposés, est racontée en flash-back par Hans, alors retourné à Londres. Le récit de cette rencontre est mêlé de souvenirs d’enfance aux Pays-Bas du trader ainsi que de son histoire familiale un peu chaotique.
Si je n’ai pas de mon côté trouvé Netherland « excellent », je le range dans la case des bons livres ; de ceux qu’on lit avec l'envie de connaître le déroulement et la fin. Parfois les soliloques du personnage principal sont bien trop longs, quelques longueurs qui font perdre le fil du récit, qui en devient par moment ennuyeux. La deuxième partie est un peu plus rythmée grâce au troublant personnage de Chuck Ramkissoon : étonnant et génial d’un bout un l’autre du roman… Et très cinématographique. Et ça tombe bien puisque le livre « préféré » d’Obama va être adapté prochainement par Sam Mendes.
dimanche 25 octobre 2009
Mal Tiempo, David Fauquemberg
CUBA linda, de mi vida, siempre te recordare…
Quelques mots d’une chanson qui parle d’un pays perdu pour quelques uns ; Cuba. Une île où la vie pourrait être si douce. Un pays figé dans les années 1950 avec l’arrivée de Fidel Castro. Un pays magnifique avec quelques plages encore sauvages, des noix de coco qui vous tomberaient sur la tête, une mer comme en plein rêve et pour y aller un vieux camion arrangé en bus avec des bancs en bois. Cuba et son soleil, sa chaleur, sa poussière sur les routes sur fond de reggaeton dans de vieilles américaines branlantes. Cuba la belle aux mille contradictions, dont les enfants chirurgiens et conservateurs de musées doivent louer une partie de leur maison rose à des touristes curieux d’un monde sans Macdo ni Coca-Cola. Un pays communiste-catholique où les orishas (sorciers) croqueurs de cœur de chèvre vous prédisent un avenir certain avant de dessoûler plus vite qu’il ne faut de temps pour le dire. Un pays où vos voisins et amis peuvent vous dénoncer pour un mot anti-régime. Un pays où le ballet national est un des plus grands des scènes internationales ; où les musiciens rentrent dans leur 2-pièces délabré après des tournées mondiales ; où les sportifs amateurs ou exilés sont des champions hors catégorie. Cuba et ses odeurs de café sur des terrasses qui dominent la ville, pour des petits-déjeuners parfaits, des volutes de cigares, de rhum, de mangue, de cuisine aux épices et des petits paquets de Dragibus partagés à la fraîche près d’un perroquet… Cuba. Cuba linda.
Reprise.
Mal tiempo est ces deux paragraphes réunis. Un livre formidable où l’on se retrouve tout à la fois à Cuba et au bord d’un ring emmené par un boxeur qui vient de raccrocher les gants. Il est alors fasciné par un jeune poids lourd cubain, Yoangel Corto doté d’une force incroyable, d’une droite qui tue. Ils se retrouveront deux ans plus tard aux jeux panaméricains, à Haïti, sélection pour les J.O. Avec toujours la même force. David Fauquemberg a, pour son deuxième livre, écrit un très grand roman, plein de force, d’îles parfaitement décrites, de combats qui ne se passent pas que sur un ring.
mardi 20 octobre 2009
Graffiti
Et puis pour prolonger l’expo encore un peu plus, il faut continuer tout droit, prendre à gauche puis re-tout droit, rue de Rennes. Là il y a un chocolatier qui prend son métier au sérieux et le mêle à l’actualité. Et l’actualité à venir qui reprend aussi les grafs, c’est … Les 20 ans de la chute du mur de Berlin! Le « baiser fraternel » entre Brejnev et Honecker en vitrine et en chocolat, des bombes de peintures, écrasées et à croquer. C’est la délicieuse idée du chocolatier Patrick Roger.
Fondation Cartier pour l'art contemporain
Et en bonus tracks !!!
Rob Base & DJ E Z Rock "It Takes Two"
envoyé par cedric71. - Clip, interview et concert.
dimanche 18 octobre 2009
Le syndrome du Titanic
Et pourtant je ne jette pas mes bouteilles en verre dans la poubelle normale, je me déplace très principalement en transport en commun, je n’achète pas de fraises ni de framboises en hiver, le poulet du lundi soir est élevé en plein air, j’éteins la lumière quand je sors d’une pièce, je coupe l’eau lorsque je me lave les dents et me savonne, j’ai souvent un sac en coton dans mon sac à main et n’utilise jamais de sacs plastiques, j’achète du café ethnique, je fais attention à la provenance des fruits et légumes, je prends le train pour me déplacer en France… Bref je sors du Syndrome du Titanic de Jean-Albert Lièvre et Nicolas Hulot. Et si certaines images sont assez percutantes, l’ensemble est assez décevant. Les propos de Nicolas Hulot sont inégaux, et pas assez forts, déjà vus. Le film tire en longueur, certaines images sont décalées. Je ne retire rien du paradoxe pays pauvres/pays riches, du défi écologique et des efforts que nous avons à faire, petit par petit, petit à petit. Un geste par ci, un autre par là, rien n’est vain. Et si chacun y met du sien, on peut changer un peu, même un tout petit peu. Les autres suivront, les plus puissants, ceux qui ont les vrais moyens techniques, financiers, logistiques, politiques. Oui c’est un peu optimiste, mais j’assume. Et puis si on est pas un peu optimiste un dimanche soir…
mercredi 14 octobre 2009
Trois femmes puissantes, Marie N'Diaye
Une force mais aussi une faiblesse. J’ai eu ainsi l’impression qu’aucune histoire n’était aboutie. Surtout la première, celle de Norah, celle que j’ai le plus aimé. On attend une fin à ces histoires, mais après tout, tout n’a peut-être pas une fin établie. Cependant, on reste sur sa faim justement, on se demande où tout cela va. Où l’auteur nous mène. Il y a un manque au bout de la dernière page de Trois femmes puissantes. On se sent du coup un peu abandonné, laissé entre deux, sans voir si l’on a aimé ou pas ce roman. La balance penche pour le oui ; un oui franc, direct sans tremblement dans la voix mais avec un gros bémol. Dommage.
Ajout du 2 novembre : Prix Goncourt 2009
dimanche 11 octobre 2009
Ambiances rétro
Hier, samedi, il y avait un peu de tout ça : du mélange de bonnes idées. La première fut d’aller dans le hangar à bus, vidé de ses véhicules pour cause de fermeture pour une brocante rétro endiablée (20e arrondissement). Pour fêter sa retraite, le hangar a regardé en arrière à ses débuts, et on s’y serait cru. Filles jolies comme des cœurs des 1950’s (de l'association Néo Rétro), photographes à déguisements vintages, airs de saxo jazz, ambiance de lampions, pastis et flonflons. Pas des tonnes d’affaires à faire mais bien mieux : une atmosphère particulière qui met le sourire aux lèvres.
Puis, il y a eu le goûter au bord de canal, les boulistes pas loin, les transats à quai. Juste en face du si aguichant et agréable bar BarOurq, intérieur de tout et de rien mais juste comme il faut pour s’y sentir comme à la maison le service impec’ en plus. Et un tour aux Puces du design, le long du quai côté Jaurès (19e arrondissement). De très beaux fauteuils par pair ou solo, parfait au soleil derrière une vitrine pour lire une trouvaille littéraire. Des tables basses, des lettres à mots d’enseignes et ensembles tables-chaises où bois et noir où l’on s’image déjà à 8 autour pour un diner presque parfait sans mettre de notes.
Voilà pour moi. Je n’oublie la fin de journée qui fut aussi très agréable et les vendanges de Montmartre (18e arrondissement). Car même si elles sont peu étendues, il y a bien des vignes sur la Butte (anciennement) sulfureuse de Paris. Et qui dit vigne dit vin donc vendanges ! Et ce week-end que ça se passe. J’y passerai demain, histoire de fouler aux pieds les grains rouges dans un tonneau en bois… Hum pas sûre qu’on me laisse faire !
Plus de photos ici :
Et pour retrouver les sexys girls rétro de la photo, vous pouvez vous balader par ici:
www.neoretroagency.com
http://clairevasseur.over-blog.com/
www.scarlettdiamond.com
www.vivienofholloway.com
http://annabogen.wordpress.com/
http://www.myspace.com/ladyflomusic
Et pour finir dans le thème burlesque, un site reprend un peu tout ça et bien plus encore : http://beburlesque.com/
Et pour re-finir encore une fois et cette fois-ci en beauté, vous pourrez retrouver les filles au resto bar Le China. Shows rétro à venir et selon elles des cocktails à se damner... A bientôt une coupe à la main, le rouge à lèvres bien rouge, pendant que les filles (toutes charmantes et adorables) montreront petit à petit leurs si jolis sous-vêtements!
(Ps: Désolée pour la mise en page, mais ça se bloque et je n'arrive pas à bien mettre la fin du post!)
jeudi 8 octobre 2009
Oh Danse !
J’ai aimé cette photo au premier regard, au premier instant. Un coup de foudre photographique. Un mouvement que l’on aimerait accompagner, applaudir, être témoin. Le sourire et le lâché-prise de cet homme sont enivrants, comme une parenthèse pour lui et pour nous. Entrer dans la danse, prendre sa main, fermer les yeux. Sentir son bonheur à travers nos yeux qui brillent. C’est peut-être ça un coup de foudre, avoir les yeux qui brillent instantanément et ne pas pouvoir détacher les yeux de cet objet du désir. Parfois obscur. Je ne sais pas d’où vient cet homme, encore moins où il va, mais j’aurais aimé être avec lui à ce moment là.